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résumé

vendredi 9 avril 2021

avril 09, 2021

La chanson à boire


 



Une chanson à boire est une chanson de fin de repas qui encourage la consommation de vin, parfois plus largement d'alcool. Les chansons à boire sont généralement interprétées en groupe : pour les repas de famille, les banquets de mariage, les fêtes étudiantes.

 

Même s'il est difficile d'établir un modèle commun à toutes les chansons à boire, celles-ci partagent au moins les traits suivants :

  • la présence de nombreuses incitations explicites à la consommation ;
  • des passages prévus pour s'arrêter de chanter et boire un verre cul-sec ;
  • la grande variété des mélodies : si certaines sont peu élaborées, ne comportant qu'une ou deux phrases musicales et une faible étendue vocale, d'autres au contraire requièrent une grande tessiture ou bénéficient d'une polyphonie savante — par exemple, le célèbre Tourdion, publié par Pierre Attaingnant au XVIe siècle.

Le style musical de la chanson à boire la rapproche beaucoup de la chanson paillarde, et cette dernière peut être une chanson à boire en même temps. On note cependant que la réciproque est fausse : une chanson à boire n'a pas pour but d'être grivoise. 

source : Wikipédia 

 
 
La voici :)


avril 09, 2021

Hacking: Slowloris le Termintator de serveur web


 Slowloris est un script écrit en Perl par Robert "RSnake" Hansen qui permet à une seule machine de faire tomber un serveur web en utilisant une bande passante minimale et des effets de bords sur des services et des ports sans rapport.

Slowloris utilise une attaque de type DoS (attaque par déni de service), il affecte en particulier les serveurs Apache 1.x et 2.x qui représentent 67 % des serveurs sur le net.

Slowloris essaye de garder beaucoup de connexions ouvertes avec le serveur et les conserve le plus longtemps possible. Il l'accomplit en ouvrant des connexions avec la cible et lui envoyant une requête partielle. Périodiquement il envoie des headers HTTP, mais sans terminer la requête. Les serveurs visés vont conserver leurs connexions ouvertes, remplissant leur pool de connexion concurrente, et finalement empêche des connexions ultérieures des clients.

Le principe de ce petit script Perl est d’envoyer des requêtes HTTP partielles, à intervalle régulier, afin de garder les sockets ouverts. Slowloris initie donc une requête GET vers le serveur cible, il y a un échange entre les deux entités, comme le ferait n’importe quel client HTTP vers le serveur, or ici slowloris va faire en sorte que l’échange ne se termine jamais. Slowloris ne va pas envoyer les séquences attendues par le serveur mais lui fournira de temps en temps un en-tête bidon qui sera ignoré par le serveur, mais qui permettra de maintenir la connexion TCP ouverte, empêchant ainsi le socket d’être fermé. Le serveur devient rapidement saturé, aboutissant au déni de service.


Pour se proteger: 

Au niveau du code PHP

Il n'y a pratiquement rien à faire pour palier cette attaque au niveau du code PHP, donc il faut surtout miser sur la configuration du serveur et la sécurisation du réseau qui abrite celui-ci.

Au niveau de la configuration du serveur et du réseau

Bonne configuration du serveur Web

Pour perfectionner la sécurité contre les DoS de manière générale on peut déjà commencer par bien configurer le serveur Web. Dans le cas du serveur Apache on peut revoir les directives suivantes (présentes dans le fichier de configuration principal apache2.conf ou httpd.conf):

  • MaxConnPerIP: permet de définir le nombre maximal de connexions par adresse IP unique.
  • MaxClients: définie le nombre maximal de requêtes simultanées.
  • KeepAlive: Définissent si les requêtes multiples doivent être envoyées sur la même connexion TCP. Il se trouve que des fois, une page Web contient beaucoup d'éléments qui sont chargés indépendamment (images, vidéos...) et qui font chacune l'objet d'une nouvelle requête. Pour ne pas créer autant de connexion TCP que de requêtes on active cette directive avec la valeur On.



Mitigation des attaques DoS

Il s'agit d'un ensemble de techniques qui visent à atténuer l'impact des attaques DoS. La plupart des hébergeurs les utilisent au sein de leurs réseaux pour surmonter les risques d'une telle attaque.

Utilisation d'un Reverse Proxy

Un reverse Proxy sert d'intermédiaire entre le réseau externe et le réseau interne. Il est donc en mesure d'encaisser tous les coups à la place du serveur Web mais il est conçu pour être plus résistant à de tels aléas.

Utilisation d'IPS applicatifs

Les IPS applicatifs sont des modules pour le serveur Web (ou des logiciels indépendants) qui permettent de filtrer les requêtes et détourner les menaces. Ils sont en mesure de reconnaitre les requêtes incomplètes et les rejeter ensuite, libérant ainsi le pool du serveur.


source: Wikipédia, chiny, ...

avril 09, 2021

Hacking: Cain and Abel le violeur de compte


 Est un outil gratuit de récupération de mot de passe qui fonctionne sous Windows. Il permet la récupération facile de divers genres de mots de passe en sniffant le réseau, cassant des mots de passe hachés en utilisant des attaques par dictionnaire, par recherche exhaustive ou encore via des tables arc-en-ciel.

Ceux qui veulent verifier si une boite mail ou n'importe quel compte est violable ou pas ...
Astuce : Pour connaitre la puissance de vos mots de passe , n'hesitez pas à le verifier sur ce site https://www.numerama.com/tech/366735-comment-verifier-sans-risque-la-solidite-de-son-mot-de-passe.html :) 

lundi 5 avril 2021

avril 05, 2021

Simo Häyhä, surnommé la mort blanche, le plus grand tireur de tous les temps

 


1 avril 2002, il nous quittait. Simo Häyhä est Finlandais,il combattit contre les Russes pendant la guerre d'hiver. 

Il a au compteur plus de 500 victimes et il utilisait que la mire de son fusil,pas de lunette. Il gardait aussi de la neige dans sa bouche pour que la vapeur de sa respiration ne le trahisse pas. Il était capable de rester des heures sans bouger, légèrement enseveli sous la neige,à des températures comprises entre -20 et −40°c. 

Le 6 mars 1940, Häyhä reçoit une balle dans la mâchoire.Il est ramassé par des soldats alliés qui affirmèrent à son propos « qu'il lui manquait la moitié de la tête ». Il reprend conscience le , jour où la paix est signée.

Peu de temps après la guerre, Häyhä est promu du grade de alikersantti (caporal) à celui de vänrikki (sous-lieutenant) par le maréchal Carl Gustaf Emil Mannerheim.

Après la guerre, il s'est rétabli et est devenu, après la Seconde Guerre mondiale, un chasseur d'orignal et un éleveur de chiens. Il a même chassé avec le président finlandais Urho Kekkonen.



avril 05, 2021

Tajmaât, un modèle ancestral, un sénat des tribus amazighes

  

 La djemaâ, ou tajmaât, est un terme qui désigne la place publique en Kabylie, un espace de rencontres où les villageois se retrouvent quotidiennement. C’est surtout le lieu, situé généralement au centre du village, où se réunissent les membres de l’assemblée populaire villageoise. Il s’agit en somme d’une mini-agora, accueillant les acteurs et les structures de gouvernance des affaires publiques, selon un modèle ancestral de prise de parole et de délibérations participatives au sein des tribus amazighes.

  Par Sami Ghezlaoui

De tout temps, le fonctionnement de cette tajmaât kabyle – à la fois autorité politique, sociale, économique et judiciaire – a été encensé comme étant une incarnation des idéaux de la démocratie, de l’égalité et de la liberté. Décrivant des «villages farouchement indépendants», Albert Camus verra dans le droit coutumier les régissant, une «Constitution… l’une des plus démocratiques qui soit» (Misère de la Kabylie, 1939).

De son côté, Mouloud Feraoun établit une comparaison, de forme et de fond, entre la tajmaât et l’agora grecque : «J’ai vu de minuscules maisons de pierre tout à fait semblables aux nôtres, dans un village sans électricité et sans eau, où la place publique figurait assez bien la djemaâ et je me suis assis sur une dalle pour écouter M. le maire nous faire part de quelque projet mirifique qui allait apporter le progrès dont rêvent tous les montagnards et qui n’arrive jamais à eux» (Le voyage en Grèce, 1961).

Selon l’anthropologue, spécialiste du monde berbère, Tassadit Yacine, que nous avons interrogée sur le sujet, «Tajmaât est un espace socioculturel et politique très répandu en Méditerranée depuis l’Antiquité, comme l’atteste l’architecture de plusieurs villages, non seulement en Kabylie mais ailleurs en Algérie et dans d’autres pays (Maroc, Tunisie, Îles Canaries, etc.). Les recherches archéologiques ont prouvé que les populations méditerranéennes concevaient ces espaces d’une manière très particulière, puisque la place publique est une partie intégrante de l’architecture villageoise, généralement construite en pierre au milieu du village».

Domination masculine !

D’après l’anthropologue Azzedine Kinzi, la tajmaât est une «institution villageoise» qui admet en son sein des «ayants droit» auxquels elle reconnaît des droits et des devoirs. Ceux-ci sont «exclusivement des hommes majeurs» (l’âge de la majorité dans les villages a évolué pour se stabiliser actuellement à la norme légale de 18 ans). De ce fait, bien qu’égalitaire et démocratique entre les hommes, l’espace public kabyle est interdit aux femmes et ne reconnaît pas le concept de parité, du moins dans sa définition moderne.

Au-delà des postes de responsabilité strictement masculins – amin (chef) ou aqarru n taddart (littéralement «’la tête du village»’), uqil (adjoint de l’amin, occupant souvent la fonction de trésorier), temmans (pluriel de tamen, représentant de chaque famille), etc., la gent féminine est bannie de tajmaât à quelques exceptions près. «Chaque famille y est représentée officiellement au moins par un élément, généralement le plus âgé, qui a le droit de parler en son nom, mais d’autres, y compris les très jeunes, peuvent assister aux réunions publiques.

Une famille qui n’a pas d’hommes peut néanmoins être représentée par une femme d’un certain âge, généralement ménopausée. Elle assiste aux assemblées un peu à l’écart et n’intervient que quand il s’agit d’une question vraiment importante, notamment concernant sa famille», indique Yacine, qui évoque une «représentativité masculine». Quant à Pierre Bourdieu, il a théorisé ce qu’il appela la «domination masculine» à partir de l’analyse de la société traditionnelle kabyle en matière d’organisation de la vie publique et de la division du travail (La Domination masculine, 1998).

C’est pourquoi, particulièrement depuis les années quatre-vingts, certaines féministes sont montées au créneau pour dénoncer un «système de domination», qui soumet la femme, voire l’asservit. A ce propos, Mme Yacine est marquée par une anecdote : «Lors d’une conférence à Paris, Mouloud Mammeri parlait de la démocratie kabyle. Ce qui n’a pas plu du tout à une militante féministe qui y assistait. Elle lui a rappelé pêle-mêle que les femmes n’étaient pas représentées dans les assemblées de tajmaât et n’avaient pas le droit ni à la parole, ni à la prise de décision, ni à l’héritage, etc. »

Alors que certains expliquent cette exclusion des femmes kabyles de l’espace public villageois par le poids de l’héritage culturel des sociétés berbères archaïques, et d’autres par l’impact de l’islamisation de l’Afrique du Nord qui avait donné naissance à des sociétés maghrébines patriarcales, notre interlocutrice la renvoie à «la gérontocratie méditerranéenne contrôlée par des chefs de famille dans des sociétés patrilinéaires».

Elle en veut pour preuve la présence de traces du même système dans quelques régions de pays non musulmans (Grèce, Italie, Espagne, etc.). Par ailleurs, certains villages berbères (par exemple dans les Aurès, selon Bourdieu) accepteraient la participation directe des femmes à la gestion des affaires publiques. Il existe aussi quelques sociétés berbères très matrilinéaires (par exemple chez les Touareg).

Ruse sociale

En réalité, même la tajmaât kabyle n’est pas tout à fait exemptée de l’influence des femmes. Celles-ci y exercent une sorte de «démocratie indirecte» ou une «démocratie par substitution».

Dans le but de comprendre cela, elle affirme qu’«il faut absolument faire le distinguo entre la représentation officielle, visible et extériorisée, et tout ce qui se trame dans les coulisses. Les femmes kabyles sont directement partie prenante dans les affaires publiques. Elles sont dominées, mais pas du tout soumises. C’est-à-dire, qu’elles acceptent un ordre établi, tacite et intériorisé, mais tout en s’y adaptant. Elles respectent la loi du village, du moins elles ne l’enfreignent pas».Quoiqu’elles ne soient pas présentes physiquement dans l’espace des délibérations, l’qanun n taddart (droit coutumier du village) le leur interdisant, dans certains cas, il leur est imposé également une restriction de leur libre circulation à l’intérieur et à l’extérieur du village ainsi qu’une tenue vestimentaire, dite «décente», portant singulièrement amendil (un couvre-chef féminin traditionnel), les femmes kabyles participent pourtant à la prise de décision au sein de tajmaât en donnant des instructions (avis, suggestions, etc.) aux hommes de la famille (fils, maris, frères, etc.) en ce qui concerne des ordres du jour préétablis ou des sujets qu’il leur importe de soumettre au débat. C’est une réalité pouvant s’apparenter à une hypocrisie sociale, mais Tassadit Yacine préfère plutôt l’expression de «ruse sociale».

A ce niveau, il faut souligner qu’il est plus juste de parler de «villages kabyles», plutôt que du «village kabyle». Malgré des règles générales plutôt communes, il y a effectivement une autonomie villageoise assez forte, y compris par rapport au rôle de la femme dans la vie publique.

D’ailleurs, dans le passé, des tribus kabyles en conflit recoururent souvent à des délégations de femmes pour mener des pourparlers et des négociations afin d’éviter la guerre ou de rétablir la paix. Durant la guerre de Libération nationale, les femmes kabyles jouaient des rôles de premier plan dans des «tajmaâtes clandestines» (ou «souterraines» pour reprendre l’appellation de Bourdieu). Jusqu’à maintenant, certains villages acceptent la participation des femmes aux obsèques traditionnelles dans les cimetières (elles y vont dans un cortège à part, bien derrière celui des hommes), etc.

Il y a, en outre, des activités publiques gérées exclusivement par des femmes (rituel d’Anzar pour invoquer la pluie lors des périodes de sécheresse, fêtes de lewada (offrande), etc.). Alors qu’elles ne participent pas aux travaux collectifs masculins de tiwizi (entraide à finalité d’intérêt général ou de solidarité), les femmes ont le droit d’offrir ou de demander amedwel à d’autres femmes (échange de services ou prêt de travail) pour la cueillette des olives, le tissage, la fabrication des poteries, etc.

Partage sexuel des rôles socio-politiques

Toutes ces considérations seraient liées à un partage sexuel ancestral des rôles socio-politiques et du travail dans la «communauté villageoise». «Les individus sont contraints d’adhérer à l’organisation sociale du village et de respecter les normes et lois légitimées par la communauté villageoise. L’honneur du Kabyle, homme et femme, est perçu à travers son appartenance et sa fidélité à une mémoire collective et à un ordre social ancestral (taqbaylit).

Ainsi, il concentre ses efforts afin d’éviter des sanctions sociales, pouvant aller jusqu’à l’exclure de l’ordre légal du village (toufik). Une telle exclusion est considérée comme un déshonneur au plan moral et lui fait perdre, et parfois à sa famille, les droits de solidarité et de jouissance des biens collectifs du village», rappelle Mohamed Achir, enseignant-chercheur à l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. Spécialiste de l’économie sociale et solidaire en Kabylie, il précise que «cette organisation sociale a été réactivée d’une manière importante à partir des années 1990 afin de prendre en charge les besoins socio-économiques des citoyens dans les villages kabyles.

La démarche est désormais basée sur le concept de développement solidaire auquel contribuent largement les structures traditionnelles incarnées par les comités de village». Depuis les années quatre-vingt, le «comité de village» s’est substitué en effet à la tajmaât dans la pratique et dans l’imaginaire collectif kabyle. Véritable autorité morale et instance gouvernementale sur le territoire du village, nonobstant son statut juridique qui ne dépasse pas celui d’une association à caractère social (loi des associations de 2012), le «comité» a hérité des prérogatives de tajmaât en matière d’application de droit coutumier et d’administration socio-économique. Mais à son inverse, il donne une place prépondérante aux jeunes.

Cependant, cette restructuration n’a toujours pas bénéficié pleinement aux femmes. Celles-ci, cherchant des alternatives pour participer davantage à la vie publique du village sans «offusquer» la tradition, ont opté pour des «assemblées parallèles» sous forme d’associations, qu’elles soient mixtes (associations culturelles) ou féminines (associations de femmes).

C’est leur manière de se réapproprier l’espace public villageois et d’y défendre l’émancipation de la femme rurale ainsi que l’égalité femme-homme sur certains sujets, en matière d’héritage par exemple. Contrairement à ce que pensent certains, l’exhérédation des femmes kabyles n’a rien à voir avec la religion musulmane, mais avec le droit coutumier instauré par les tajmaâts pour des «raisons politico-économiques». Yacine est catégorique : «De toute façon, l’imam du village n’avait même pas le droit de participer aux délibérations de tajmaât, qui gardait un aspect de sécularisation et de laïcité pratique.

C’est seulement en 1749 que 17 tribus kabyles se sont réunies à Djemâa Saharidj (Mekla – Tizi-Ouzou, ndlr) et ont décidé d’exhéréder les femmes afin d’éviter le transfert de terres entre familles et, surtout, entre tribus (parfois ennemies). C’était un arrangement pragmatique qui a satisfait tout le monde, vu la sacralité de la terre et de sa transmission chez les Kabyles de l’époque.»

Donc, il va de soi que toutes ces discriminations du genre n’ont pas lieu de subsister encore aujourd’hui. Il suffit juste de persévérer à casser les tabous progressivement. Les femmes kabyles peuvent et doivent s’impliquer davantage dans la sphère publique du village. L’idéal serait d’arriver à constituer des assemblées villageoises mixtes, mais ce serait aussi bien de pérenniser l’idée d’un système de délibérations publiques à deux collèges égaux, celui des femmes et celui des hommes

Par Sami Ghezlaoui / EL WATAN

samedi 27 mars 2021

mars 27, 2021

L'histoire tragique de Jean-Pierre Adams, le joueur français qui est dans le coma depuis 39ans pour une erreur médicale

 Né à Dakar, Jean-Pierre Adams est élevé par une grand-mère sénégalaise que l'amour de la religion catholique amène en pèlerinage à Montargis, dans le Loiret, pour y déposer le jeune garçon, âgé de huit ans, dans une école religieuse. Des parents adoptifs de bonne volonté et le football lui permettront d'échapper à l'Assistance publique. Adams est un ancien élève de l'école Saint-Louis de Montargis.

Il se marie en avril 1969 avec Bernadette Adams. Leur premier fils, Laurent, né en décembre 19693, est par la suite entraîneur des moins de 18 ans du Football Club Aregno-Calvi, en Corse. Il s'est reconverti après avoir passé une année au sein de la Division d'Honneur de Calvi en tant que joueur. Le couple a un deuxième enfant, Frédéric.

A Chalon-sur-Saône à partir d'août 1980, il trouve un emploi à l'établissement Moreau Sports. Le 17 mars 1982, opéré d’une rupture du tendon au genou, l’anesthésiste se trompe dans les dosages et plonge l’international français dans le coma. En 2021, il est dans sa 39ème année sans être sorti de cet état.
 

Son épouse Bernadette Adams s'occupe de lui dans leur maison.Jean respire sans aucun appareil.

Peut-être qu'il se réveillera un jour. 


 

vendredi 26 mars 2021

mars 26, 2021

Il y a 1600 ans, le jour de l'Annonciation, le 25 mars 421, à midi, était fondée Venise


 

Il y a 1600 ans, le jour de l'Annonciation, le 25 mars 421, à midi, était fondée Venise

Indication fabuleusement précise, à laquelle certains annalistes ajoutent même l'heure attribuée à la fondation de Venise, dans l'abri des lagunes, par une délégation de magistrats de Padoue, à la suite des premières invasions barbares. On la rencontre comme acceptée déjà dans les Annales d'Andrea Dandolo, le doge historien, composition rédigée au temps (1343-1354) de son principat. On la retrouve dans nombre de chroniques vénitiennes courantes qui débutent par une sorte de vie d'Attila, suivie du récit de la campagne d'invasion des Huns en Vénétie, événement qui provoque la création de Venise par des émigrés de Padoue, dans le refuge des lagunes.
 
source: blog de Luc-henri-roger
mars 26, 2021

Ted et Otto, deux ours en peluches très ... 0O

 
Souvent je dis, que l'influence est présente dans toute création. Jamais de nouveau sans traditionnel.
En réfléchissant :
Ted la peluche vulgaire ne serait-il pas un sosie de Otto la peluche de
Tomi Ungerer


Otto, autobiographie d'un ours en peluche

« J'ai compris que j'étais vieux le jour où je me suis retrouvé dans la vitrine d'un antiquaire. J'ai été fabriqué en Allemagne. Mes tout premiers souvenirs sont assez douloureux. J'étais dans un atelier et l'on me cousait les bras et les jambes pour m'assembler... »
 

Otto est la peluche de David, un petit enfant juif allemand, lequel a pour compagnon de jeux Oskar, un autre enfant allemand. En jouant, il renverse un encrier sur Otto, lui laissant une marque indélébile sur l'œil et l'oreille gauche. Du fait de la politique antijuive du Troisième Reich, la famille de David est raflée pour être déportée, et David, triste de quitter Oskar, lui donne son ours en peluche.

Lors des bombardements alliés de la libération de l'Europe, Oskar perd Otto dans les décombres de la maison.

Un G.I. noir américain se nommant Charlie ramasse le petit ours en peluche dans les décombres et, peu après, celui-ci le sauve en amortissant l'impact d'une balle allemande et le rebaptise Alamo. Le G.I. blessé serre Otto sur sa poitrine et fait la une des journaux. Otto devient la mascotte de son unité. À son retour de la guerre, le G.I. l'offre à sa petite fille Jasmine. Un jour qu'elle se promène avec Otto dans la rue de son quartier pauvre, des enfants lui arrachent Otto et le malmènent puis l'abandonnent dans une poubelle.

Une clocharde extrait l'ours de cette poubelle et le revend à un antiquaire. Après l'avoir réparé, l'antiquaire l'expose dans sa vitrine. Plusieurs années passent et Oskar, passant devant la vitrine, reconnaît la tache d'encre caractéristique d'Otto. Otto fait pour la deuxième fois la une des journaux. David, qui a survécu à la déportation et habite à présent à New-York, lit l'histoire d'Oskar dans la presse et le contacte. Les deux amis d'enfance ainsi réunis grâce à Otto se retrouvent et se racontent leur vie. 

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Ted (film)

  En 1985, John Bennet est un garçon solitaire de huit ans. Le soir de Noël, il fait le vœu que son ours en peluche qu'il vient de recevoir à Noël prenne vie et qu'il soit son meilleur ami pour la vie ; son vœu sera exaucé par magie, l'ours Ted (traduction de « Teddy bear ») prend vie et cette histoire devient célèbre. 27 ans plus tard, en 2012, Ted et John vivent toujours ensemble, mais la présence de l'ours empiète sur la vie de couple de John, depuis quatre ans avec Lori. En effet, John et son ours se comportent comme de grands enfants, passant leur temps à boire des bières et fumer de la drogue devant des navets, leur préféré étant Flash Gordon.

Ted est un grand séducteur et en tant que fêtard invétéré, il pousse John à délaisser sa compagne. Aussi, Lori va forcer la main de son petit ami et le pousser à s'éloigner de son meilleur ami d'enfance afin de le faire grandir et le rendre plus mûr. Malheureusement, l'immaturité des deux compères va conduire Lori à se tourner vers son patron, plus mûr et accompli.

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