Critique :
The day Of the Jackal est sans aucun doute l'une des grandes surprises de cette fin d'année, une série qui revisite l'univers du tueur à gages avec une profondeur et une intensité inattendues. Avec Eddie Redmayne dans le rôle principal, on plonge dans l’univers d’un assassin solitaire, froid et méthodique, incarné avec brio par l’acteur britannique. Sa prestation est d'une grande justesse, et il parvient à capturer toute la complexité psychologique de son personnage, entre violence et vulnérabilité.
Ce qui distingue Jackal des autres thrillers du genre, c’est son rythme effréné. La série ne laisse aucun répit, chaque épisode étant une montée en tension qui maintient l’attention du spectateur du début à la fin. Les scènes sont habilement dosées entre action et moments de suspense, garantissant une expérience immersive et addictive. En seulement deux jours, il est facile de se retrouver captivé par l’intrigue et de dévorer les épisodes sans s'arrêter.
Visuellement, Jackal est également un vrai régal. La réalisation est soignée, avec des prises de vue soignées et une ambiance qui parvient à mêler le noir et le thriller de manière efficace. L'esthétique de la série contribue à renforcer l’atmosphère sombre et pesante qui accompagne le parcours du chacal.