Il n'y a aucun sens ésotérique à y trouver. Il s'agit seulement d'un acrostiche tiré de chaque première syllabe d'un poème écrit au IXe par Paul Diacre et utilisé par Guy d'Arezzo, Ut queant laxis, au XIe siècle.
#UT queant laxis
#RE-sonare fibris
#MI-ra gestorum
#FA-muli tuorum
#SO-Lve polluti
#LA-bii reatum
#S-ancte Ioannes.
[Traduction] : Afin que tes fidèles puissent chanter les merveilles de tes gestes d'une voix détendue, nettoie la faute de leur lèvre souillée, ô Saint Jean.