#Reportage: A leur insu, les Américains ingèrent de l’opium présent dans des antidouleurs et en deviennent dépendants. 80% des héroïnomanes ont commencé par ces médicaments.
C’est la drogue préférée des Américains, la plus répandue à travers les Etats-Unis et elle est parfaitement légale. Elle frappe tous les milieux sociaux, toutes les communautés ethniques, tous les états avec une légère préférence pour les électeurs de Trump, soit l’Amérique blanche, rurale et pauvre. Elle tue plus que l’héroïne et le crack réunis. Michaël Jackson et Prince en sont morts, comme des dizaines de milliers d’Américains chaque année. Et l’hécatombe n’est pas prête de s’arrêter. Déjà, 2 millions d’Américains en sont dépendants. Pour le plus grand bonheur des labos pharmaceutiques ! Le nom de cette grande faucheuse : les anti-douleurs.
Près de 70.000 Américains ont trouvé la mort, en 2017, à cause d’overdosesde drogues. Et c’est l’une des raisons pour laquelle l’espérance de vie a continué à baisser aux Etats-Unis par rapport à 2014, selon des statistiques de santé publiées ce jeudi.
« C’est la première fois que l’on voit une tendance à la baisse depuis la grande épidémie de grippe de 1918 », a expliqué Robert Anderson, chef des statistiques de la mortalité au Centre national des statistiques de santé, qui a publié les nouveaux chiffres.
Un nombre de morts similaires à l’épidémie de VIH
L’espérance de vie à la naissance était en 2017 de 76,1 ans pour les hommes et de 81,1 ans pour les femmes. La moyenne pour la population était de 78,6 ans, contre 78,9 en 2014. « Ces statistiques nous alertent et montrent que nous perdons trop d’Américains, trop souvent, pour des causes évitables », a déclaré le directeur des Centres de contrôle et de prévention des maladies, Robert Redfield.
Le fléau des overdoses de drogues a commencé au début des années 2000, son intensité s’accélérant depuis quatre ans. En 2017, environ 70.000 Américains sont morts d’overdoses de drogues, 10 % de plus qu’en 2016. En nombre de morts, Robert Anderson compare cela au pic de l’épidémie de VIH, à une différence près : celle-ci avait rapidement décliné. Le statisticien espère que les overdoses suivront le même chemin. « Nous sommes un pays développé, l’espérance de vie devrait augmenter, pas diminuer », dit-il.
Deux catégories d’overdoses
Il y a deux catégories d’overdoses : d’une part les drogues non-opiacées, comme la cocaïne, la méthamphétamine et les autres psychostimulants dont la MDMA, qui ont fait 27.000 morts environ. Mais l’augmentation est largement due à la seconde catégorie : les opiacés. Cela inclut l’héroïne, la morphine, et les opiacés dits semi-synthétiques comme l’oxycodone, un antidouleur sur ordonnance mais détourné sur le marché noir.
Dernièrement, la majorité des morts sont venus d’une nouvelle génération : les opiacés synthétiques, comme le fentanyl, des dizaines de fois plus puissant que l’héroïne, où une erreur de dosage peut être fatale. Le taux de morts par opiacés synthétiques avait doublé de 2015 à 2016. L’an dernier, il n’a augmenté « que » de 45 %.
un max de partage
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Dites un mensonge, on vous dira la vérité".
RépondreSupprimerAu père de Benbadis ,Mustapha , s'il était ,il est vrai Grand croix de legion d'honneur ,il était membre de la delegation financière représentant les indigenes que nous fumes .C'est à contre cœur qu'il accepta de représenter le département de l'Est algérien de l'époque (il y avait trois départements )et ce fut beaucoup plus une attitude pragmatique que celles marquées pas le sceau de l'infamie .D'ailleurs lors des odieux massacres de Mai 1945 Mustapha Benbadis avait couvert des regions de Ain Abid , El Khroub Oued Zenati ou beaucoup de militants du PPA étaient recherchés parmi lesquels Chihani Bachir bras droit de Benboulaid , Lakhdar Bentobal , Abbas Leghrour et le plus connu Mohamed Boudiaf .Tout ce monde là fréquentait assidument le marche de bovins et d'ovins du Khroub qui était le plus grand marche de l'Est algérien et qui permettait chaque vendredi d'échanger sous les kachabias messages armes récoltés par le groupe de Benboulaid à Gabes en Tunisie via la Lybie. Ce point d'ordre effectué cet individu qui a commis ce méfait serait bien inspire de comprendre , lui et sans doute ses rares lecteurs ,que le portrait qu'il fait de Benbadis pèche dans la calomnie , pour les raisons suivantes :-UnBenbadis ,n'a pas crée l'association des oulémas en 1931 ,mais a été choisi par ses pairs pour la coiffer . -Deux: respectant les courants traverses par l'association des salafistes aux assimilationnistes (El Okbi entre autres ) ,il y avait autour de lui un noyau dur compose entre autres de Larbi Tebessi,Moubarak el Mili ,Fodil Wartilani, qui était l'incarnation d'une approche visant à défendre notre identité , éduquer , instruire et surtout semer la graine patriotique afin de déconstruire le tribalisme, le complexe de colonisabilité et maraboutisme dont l'auteur de ce blog semble en être un des adeptes .-Trois :l'organe des ouléma , le journal "El Bassair" était l'emanation de toutes les tendances précitées dont celles qui préconisait l'assimilation . -Quatre :Respectueux des autre avis des oulema ,Benbadis exprimait sa position dans son propre journal "El Chihab "et signait de son nom et non au nom de l'association afin de la preserver .Quant au Congres des musulmans algériens de Juin1936 , suivi du voyage à Paris ,sachez que Benbadis est parti à son corps defendant (il fallait assumer le Congres et ses resultion dont la troisième , rattachement à la France pour laquelle il s'était exclame après que El Okbi porte parole de la rencontre l'ait lue :"Je jure par Dieu Tout Puissant que si je disposais de dix sages j'aurais fait une révolution " Enfin que l'auteur de ce Blog sache également que pour marquer avec fieete son origine berbère et non gauloise comme nous le faisait chanter l'Ecole coloniale et il signait Abdelhamid Benbadis El Sanhadji. meilleure des reponses sans les ecrits entrant dans l'Histoire ,, EN BADIS a écrit ……
Les quelques citations (traduites) que voici sont dans une certaine mesure amoindries dans leur portée réelle parce que forcément extraites de leur contexte. Elles ont cependant une valeur indicative importante. Elles témoignent de la profondeur de vue de leur auteur, de son esprit de discernement, de son humanisme et de son attachement aux principes de liberté, de démocratie et de justice.
SUR LA NATION ALGÉRIENNE
« La nation algérienne n’est pas la France, ne peut pas être la France et ne veut pas être la France. » (Ech Chihab