Les "sautes d'humour" de Winston Churchill 😂
A propos d’un député ayant rejoint le Parti socialiste :
- C’est la seule fois de ma vie où j’ai vu un rat nager vers un navire en perdition.
°°°
A son traducteur français :
- Jusqu’à ce que j’entende votre splendide traduction, monsieur, je ne m’étais pas aperçu que mon discours était aussi magnifique, et pour tout dire historique. Monsieur, permettez que je vous embrasse.
°°°
Un jour de Noël, au moment de découper l’oie, il apprend qu’il s’agit de l’une des siennes. Il repose alors le couteau en déclarant :
- Je suis incapable de manger une volaille que j’ai connue personnellement.
°°°
A propos du libéral Joseph Chamberlain, père d’Austen, ministre des Affaires étrangères et Prix Nobel de la paix en 1925 :
- Mr Chamberlain aime les travailleurs : il aime les voir travailler.
°°°
A une mère qui lui dit que son bébé lui ressemble énormément :
- Mais, madame, tous les bébés me ressemblent !
°°°
Le jour de son soixante-quinzième anniversaire :
- Je suis prêt à rencontrer mon créateur. Savoir si mon Créateur, Lui, est prêt à subir cette épreuve, c’est une autre affaire.
°°°
Pour le quatre-vingtième anniversaire de Churchill, en 1954, on envoya chez lui un jeune photographe faire son portrait. Celui-ci, très impressionné, balbutia :
-Sir Winston, je suis vraiment enchanté de vous prendre en photo pour vos quatre-vingts ans, et j’espère que je serai encore là pour vos cent ans.
A quoi Churchill répondit :
- Jeune homme, vous me semblez en pleine forme et de bonne constitution. Je ne voIs donc pas pourquoi ce ne serait pas le cas.
°°°
A l’occasion d’un dîner en l’honneur du prince de Galles, futur Edouard VII, en 1896 :
- J’ai compris que je devais me montrer sous mon meilleur jour
- ponctuel, discret, réservé
– bref, montrer toutes les qualités que j’ai le moins.
°°°
A propos des Français :
- Le Tout-Puissant, dans Son infinie sagesse, n’a pas jugé bon de les créer à l’image des Anglais.
°°°
A propos des Etats-Unis :
- Papier hygiénique trop fin, journaux trop épais.
°°°
Souvent invité par le Président Roosevelt à la Maison-Blanche, Churchill disposait d’une chambre avec salle de bains. Le fils de Roosevelt a raconté que son père, un jour qu’il entrait dans la chambre de Churchill en fauteuil roulant, eut la stupéfaction de le surprendre nu comme un ver au sortir de son bains. Le Président américain entreprit aussitôt de faire reculer son fauteuil, mais Churchill l’arrêta en disant :
- Le Premier ministre anglais n’a rien à cacher au Président des Etats-Unis. 🤪
👉www.elmesmar.fr👈
🔔Soutenez-nous sur Tipee: https://fr.tipeee.com/elmesmar 🤗🤗