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Affaire Ibn Badis : un cheick issu de la bourgeoisie idolùtré par les harkis , qui soutenait une Algérie Française

La RĂ©daction

Cet Article ne veut en Rien dĂ©nigrer ou apporter une insulte au cheikh Abdelhamid Ben Badis , mais il s’agit d’une restitution de l’histoire le plus honnĂȘtement et intellectuellement possible , le cheikh et l’association qu’il a crĂ©e n’a jamais au grand jamais plaidĂ© pour l’indĂ©pendance de l’AlgĂ©rie ( et cela etait son choix comme d’autres ont fait ce choix ), il a choisit un modele de sociĂ©tĂ© musulmane dĂ©pendante de la France Coloniale , ils ont essayĂ© de crĂ©er une entitĂ© musulmane Française et Ă  aucun moment l’association des oulĂ©mas n’a plaidĂ© pour l’indĂ©pendance de l’AlgĂ©rie . les Documents le prouvent .

NĂ© le 4 decembre 1889 decĂ©dĂ© 16 avril 1940 Son nom est Abd al-Hamid Ibn Mohamed Al-Mustafa Ibn Al-Makki Ibn Mohamed Kahoul Ibn Ali descendant de l’arriĂšre grand-pĂšre « Menad Ibn Mankush »
Son pere etait elevĂ© au Rang d’officier dĂ©corĂ© Chevalier de la Legion d’honneur .

Ibn Badis a commencĂ© Ă  penser Ă  fonder l’association des OulĂ©mas Musulmans dĂ©s 1913 lors de son sĂ©jour Ă  MĂ©dine et avec son compagnon de route Sheikh « Mohamed Al-BachĂźr Al-Ibrahimi », il mit les premiers fondements de l’association et pour cela plusieurs rencontres eurent entre les deux hommes depuis 1920.
Nous remarquons dans la photo le confort colonialiste dont cette Association semblait bĂ©nĂ©ficier largement Ă  travers des banquets qu’ignorait totalement la population indigĂšne deja noyĂ©e dans une profonde pauvretĂ© de l’Ă©poque .

C’est de cette association des OulĂ©mas , dont sont originaires toutes les mouvances islamistes salafistes , wahabistes de nos jours ses dĂ©placement au Hejaz etaient trĂ©s frĂ©quents et sont citĂ©s comme rĂ©fĂ©rence de sa connaissance de la religion.

Les ulemas avec a leur tĂšte benbadis Ă©taient en 1936 pour le projet de loi Blum-Violette qui devait donner la nationalitĂ© française a tous les algeriens et algeriennes / cette association d’islamiste Ă©tait pour le rattachement de l’Algerie a la France. Ben badis alla mĂȘme rendre visite au prĂ©sident français durant la meme annee pour le supplier pour cette assimilation et afin de pousser pour le projet. Apres le refus de l’assemblee francaise d’accepter le projet ,les salafistes ulemas feront semblant de changer d’avis, les raisins etaient amers , mais leur double jeu etait connu. Les islamistes d’aujourd hui sont la progeniture de ces ulemas et maintenant plus patriote qu’eux , on ne peut trouver mieux puisqu’ils sont missionnĂ©s par les wahabistes pour salafiser notre societĂ©s au meme titre que Ben Badis.

Dans un document officiel de cette organisation et un numĂ©ro de son journal, nous constatons sont alliance avec la France Coloniale , dans « Essouna », datant de 17 Avril 1933 et qui attestent clairement du soutien de cette organisation islamiste aux autoritĂ©s coloniales.
C’est une vĂ©ritĂ© historique que personne ne peut rĂ©futer car des documents authentiques l’attestent et ne s’agit nullement de thĂšses ou de tĂ©moignages quelconques. « Nous ne sommes pas des ennemis de la France et nous n’activerons jamais contre ses intĂ©rĂȘts. Au contraire, nous tĂącherons Ă  lui faciliter la mission de civiliser le peuple AlgĂ©rien et islamiser toute la nation », lit-on Ă  la une du journal « Essouna » 1933.
Ă  l’appel du 1er novembre 1954 l’association des oulĂ©mas a prit position pour soutenir l’armĂ©e coloniale et a traitĂ© « les rĂ©volutionnaires Algeriens de perturbateurs . »
Il fallait l’intervention du leader de l’Ă©poque, Abane Ramdane, pour que cette organisation cesse son soutien Ă  la France en …..1957 ! Abane avait mĂȘme procĂ©dĂ© Ă  quelques liquidations physiques pour voir Larbi Tbessi, l’un des chefs de cette organisation Islamiste pro-française, de se soumettre et soutenir la rĂ©volution juste politiquement mais sans aucun engagement politique au moment oĂč les combattants et autres combattantes Algeriens ailleurs dans les maquis tombaient comme des mouches pour libĂ©rer l’AlgĂ©rie.

l’Algerie doit absolument reflechir Ă  changer la journĂ©e du savoir et ne plus la coincider avec la date du decĂ©s de ibn Badis aprĂ©s toutes la documentation qui pullule sur le net et la revelation de son appartenant Ă  un courant salafiste et surtout sa collaboration avec les colonisateurs , je vous soumet ici une serie de documents que nous avons pu trouver meme dans des archives Française , Ă  mesure que le temps passe de plus en plus de secrets sur ceux qu’on nous a toujours mit en avant comme etant les heros de la nation s’avere etre de purs mensonge et le cas bnou badis doit etre serieusement remit en question je refuse qu’on dise Ă  l’ecole Ă  mes enfants que cet homme est l’un des militant pour la cause Algerienne , cela est faux , il etait pour la France colonialiste , il etait le FIS de l’epoque il ne cessait d’aller et venir de chez les wahabistes pour avoir en gros des recommandation et complice avec le colonisateur pour dominer les populations indigene qu’etaient nos parents avec la religion pour l’interet des colonisateur qui leur permettait davoir une vie bien confortable , son pere avec la legion d’honneur ( consultez les photos)

Ce compte-rendu de sĂ©ance vous Ă©clairera sur des individus comme Ben Badis, Gouvernement gĂ©nĂ©ral de l’AlgĂ©rie – DĂ©lĂ©gations financiĂšres algĂ©riennes. SĂ©ance du vendredi 21 Novembre 1930.

La séance est ouverte à 15 heures, sous la présidence de M. SISBANE, Président, assisté de MM. BEN ABDALLAH, assesseur, et GHERSI, secrétaire.
MIRANTE, Directeur des Affaires IndigĂšnes, assiste Ă  la sĂ©ance en qualitĂ© de Commissaire du Gouvernement. ‘ Tous les membres de la Section sont prĂ©sents, Ă  l’exception de M. Reguieg, excusĂ©.

LE PRÉSIDENT. – J’ai l’agrĂ©able devoir de rĂ©parer une omission qui s’est produite hier, et qui provient de ce que je n’avais pas sous les yeux la liste de nos collĂšgues bĂ©nĂ©ficiaires, Ă  l’occasion de la commĂ©moration du Centenaire, de distinctions diffĂ©rentes.

Ce sont : MM. Ben Badis, qui a Ă©tĂ© Ă©levĂ© Ă  la haute dignitĂ© de grand officier, LatrĂšche et Reguieg, nommĂ©s commandeurs, Ben Abdallah, officier, et Ghorab, chevalier dans l’ordre de la LĂ©gion d’Honneur.

Que ces collĂšgues me permettent de leur dire, en votre nom Ă  tous, Messieurs, toute la joie que nous avons ressentie en apprenant qu’ils avaient Ă©tĂ© l’objet de ces hautes distinctions, et de leur prĂ©senter l’expression de nos fĂ©licitations les plus affectueuses.
MM. Ben Badis, LatrĂšche, Reguieg, Ben Abdallah et Ghorab. Chacun d’eux a fait preuve, depuis qu’il siĂšge au sein de cette assemblĂ©e, d’un dĂ©vouement Ă  la cause publique, qui n’a d’Ă©gal que son attachement Ă  notre patrie commune, la France. (Applaudissements.) En honorant ceux de nos collĂšgues qui en sont les bĂ©nĂ©ficiaires, ces dĂ©corations honorent toute la section arabe.

Vous me permettrez, Messieurs, de remercier M. le Gouverneur gĂ©nĂ©ral et son collaborateur immĂ©diat en la matiĂšre, notre sympathique Directeur des Affaires IndigĂšnes, M. Mirante, d’avoir su rĂ©compenser ceux de nos collĂšgues qui ont vĂ©ritablement bien mĂ©ritĂ© de la Patrie.

En leur nom, Monsieur le Directeur et bien cher ami, permettez-moi de vous assurer une fois de plus de notre affectueux dévouement et de vous dire combien nous apprécions hautement votre précieuse collaboration.

Nous avons admirĂ© la haute compĂ©tence et la conscience avec lesquelles vous remplissez les fonctions dĂ©licates de Directeur des Affaires indigĂšnes, fonctions qui – il faut bien le dire – constituent le pivot de la politique algĂ©rienne.

Au nom de mes collÚgues, permettez-moi, Monsieur le Directeur, de vous adresser à cette occasion tous nos remerciements et de vous assurer encore de notre affectueuse amitié. (Applaudissements)

MIRANTE, commissaire du gouvernement. – J’associe de tout cƓur l’Administration aux compliments qui viennent d’ĂȘtre adressĂ©s, en termes particuliĂšrement heureux par votre PrĂ©sident, Ă  ceux d’entre vous qui ont obtenu de hautes distinctions honorifiques, Ă  l’occasion de la commĂ©moration, du Centenaire.

J’ai Ă©tĂ© personnellement trĂšs heureux – croyez le bien – de pouvoir appuyer auprĂšs de M. le Gouverneur gĂ©nĂ©ral les titres des membres distingues de cette assemblĂ©e qui viennent d’ĂȘtre rĂ©compensĂ©s par le Gouvernement de la RĂ©publique, titres importants qu’ils s’Ă©taient crĂ©Ă©s Ă  sa reconnaissance.

Nous connaissons depuis longtemps mon vieil ami, M. Ben Badis, mes amis MM. LatrÚche et Reguieg. Nous savons tous avec quel dévouement et aussi avec quelle compétence ils siÚgent dans cette Assemblée.

L’Administration se fĂ©licite pleinement de trouver en vous des collaborateurs qui, tout en ayant le sentiment trĂšs vif de leur devoir de dĂ©lĂ©guĂ©s de la population indigĂšne, savent les faire concilier avec leur attachement profond Ă  l’Administration et Ă  la France.

Lorsque des personnalitĂ©s du monde politique ou journalistes viennent en AlgĂ©rie Ă©tudier sur place les progrĂšs que nous avons accomplis dans ce pays, leur attention se porte tout naturellement vers les Ă©lus.de la population indigĂšne, et en particulier vers ceux d’entre eux qui siĂšgent aux DĂ©lĂ©gations financiĂšres et qui sont l’expression la plus Ă©levĂ©e de cette reprĂ©sentation.

VĂ©ritablement, l’Administration peut ĂȘtre fiĂšre de trouver dans votre assemblĂ©e des personnalitĂ©s aussi Ă©minentes, qui reprĂ©sentent avec une distinction rĂ©elle la population musulmane de ce pays.

Messieurs, aprĂšs avoir joint les fĂ©licitations de l’Administration et mes compliments personnels Ă  ceux que vous adressait tout Ă  l’heure M. le PrĂ©sident, vous me permettrez de vous dire aussi combien je me fĂ©licite de retrouver mon ami Sisbane au fauteuil prĂ©sidentiel qu’il occupe, je ne crains pas de le dire, avec un rare bonheur.

Les membres du Gouvernement venus en AlgĂ©rie Ă  l’occasion des fĂȘtes du Centenaire, les personnalitĂ©s Ă©minentes qui, sans faire partie du Gouvernement, appartiennent cependant Ă  l’Ă©lite de la mĂšre patrie, ont particuliĂšrement remarquĂ© les discours prononcĂ©s par votre PrĂ©sident.

Ces discours ont Ă©tĂ© pour eux une vĂ©ritable rĂ©vĂ©lation ; ils ne soupçonnaient pas que parmi les indigĂšnes d’AlgĂ©rie il s’en fĂ»t trouvĂ© d’aussi cultivĂ©s, d’aussi distinguĂ©s. Et si nous avions dĂ», nous, administration, citer des exemples de l’Ɠuvre morale accomplie par la France dans ce pays, eh bien, vous ne serez pas surpris de m’entendre dire que nos regards se seraient tournĂ©s vers M. Sisbane, qui est l’exemple vivant de cette Ɠuvre magnifique dont la France s’enorgueillit.

C’est pourquoi, mon cher PrĂ©sident et Ami, il m’est particuliĂšrement agrĂ©able de vous saluer Ă  la place que vous occupez si bien.

Je voudrais aussi, Messieurs, vous exprimer toute ma gratitude pour les paroles que votre PrĂ©sident, parlant tant en votre nom qu’en son nom personnel, m’adressait tout Ă  l’heure.

L’Administration des indigĂšnes est une Administration difficile, difficile pour tous mes collaborateurs et difficile pour moi-mĂȘme. En accomplissant notre devoir, nous ne rĂ©coltons pas toujours seulement des satisfactions; les roses qui nous entourent ont souvent .des Ă©pines ; mais tout cela est nĂ©gligeable. La satisfaction du devoir accompli plane sur tout le reste : la seule gratitude que nous dĂ©sirons, c’est celle, que vous venez de m’exprimer en termes qui m’ont profondĂ©ment touchĂ©.

Je vous remercie de l’affection dont vous m’honorez. : un des meilleurs souvenirs que j’emporterai de ma longue carriĂšre, c’est celui de vous avoir toujours aimĂ©s et de vous avoir toujours loyalement et fidĂšlement dĂ©fendus quand vous le mĂ©ritiez.

VoilĂ  ce que je retiendrai d’une carriĂšre de prĂšs d’un demi-siĂšcle passĂ©e tout entiĂšre au milieu de vous.

C’est vous dire, mes chers amis, toute l’affection que je vous garde, une affection vĂ©ritable, une affection profonde qui durera autant que moi.
Par Idir Asalu

À lire cet archive de l'Ă©poque
Le journal « El BassaĂŻr », organe de l’Association des savants algĂ©riens musulmans, vient de publier, sous la signature de son prĂ©sident, M. Ben Badis, un fort intĂ©ressant manifeste ; il y proclame avec assiduitĂ© son amour de la France et de la RĂ©publique et reconnaĂźt que le peuple algĂ©rien n’a pu demeurer depuis un siĂšcle « dans le giron de la France sans s’imprĂ©gner de civilisation française et sans Ă©voluer dans le sens français ».
Le but de la SociĂ©tĂ© religieuse d’Ă©ducation est de « propager la science, de cultiver les vertus, de combattre l’ignorance et de dĂ©truire le vice. Nous voulons Ă©duquer le peuple attachĂ© Ă  la France et relever son niveau moral, social et intellectuel, selon le vƓu mĂȘme de la France ». C’est trĂšs bien et l’Ă©crivain ajoute que « l’AlgĂ©rie française aura des sociĂ©tĂ©s et des journaux jusqu’Ă  ce que les musulmans algĂ©riens soient placĂ©s sur le mĂȘme pied d’Ă©galitĂ© que leurs frĂšres, les Français du reste de la France ».
Voici qui est net et parait dĂ©gagĂ© de tout sectarisme destourien ou nĂ©o-ouahabite. Le but profond de l’action française en Afrique est, non pas de crĂ©er, comme le prĂ©voyait NapolĂ©on III, un royaume arabe, mais de transformer peu Ă  peu les sujets en citoyens. Je me rappelle d’avoir fort scandalisĂ©, jadis, un haut fonctionnaire colonial anglais Ă  soutenir contre lui que l’occupation d’un territoire exotique par un État dĂ©mocratique moderne ne pouvait avoir qu’un rĂ©sultat : celui d’europĂ©aniser si bien les IndigĂšnes qu’ils devinssent les Ă©gaux des EuropĂ©ens, en droit et en fait. Le brave homme me traita d’illuminĂ© et de Jacobin, ce qui, pour lui, Ă©tait tout un ; il me parla aussi de sa foi impĂ©rialiste, dont le plus haut reprĂ©sentant fut le regrettĂ© Rudyard Kipling, et soutint que l’homme blanc avait une mission  Ă  remplir  auprĂšs  des peuples  infĂ©rieurs, mission dont rien au monde ne pouvait le dĂ©tourner, et qui Ă©tait de le tenir, avec bienveillance, en perpĂ©tuelle tutelle. Et cette mission durerait tant qu’il se trouverait sur terre des nĂšgres, des jaunes et des bistrĂ©s. Pour mon interlocuteur, c’Ă©tait lĂ  un acte de foi. Le domaine de la foi, on le sait, n’est plus celui de la raison. Je ne discutai donc pas plus avant.
J’admets pour lĂ©gitime la formule de M. Ben Badis. Et toutefois je me demande si elle n’en dissimule point une autre, celle de la naturalisation dans le statut, qu’il sera un peu plus difficile de faire admettre Ă  nos lĂ©gislateurs, car elle aurait pour rĂ©sultat de crĂ©er deux catĂ©gories de citoyens en territoire français. Une telle dualitĂ© crĂ©erait dans notre droit civil une horrible confusion et compliquerait singuliĂšrement les Ă©tudes juridiques et la tĂąche des magistrats. Et puis de quelles injures ne nous gratifieraient pas les fĂ©ministes puisque nous permettrions Ă  des citoyens français d’ĂȘtre polygames, de divorcer Ă  leur fantaisie et de marier leurs filles sans les consulter ? Je frĂ©mis par avance Ă  ouĂŻr les furieuses invectives dont les dames suffragettes gratifieraient les politiciens qui voteraient pareille mesure.
Il ne faut point non plus oublier que l’islam est Ă  la fois une sociĂ©tĂ© religieuse et une sociĂ©tĂ© civile ; cette conception n’est pas du tout celle de l’État moderne.
En Turquie comme en Iran l’effort du pouvoir central, qui est rĂ©volutionnaire, a portĂ© sur la sĂ©paration des choses de la religion et de celles du monde profane.
Il n’est point parvenu sans peine Ă  tenir Ă  leur place les reprĂ©sentants d’un clergĂ© combatif. Et ils ne pourront progresser et compter parmi les nations qu’autant que cette scission aura Ă©tĂ© plus complĂštement Ă©tablie. Dans l’Afrique du Nord les thĂ©ologiens tendent Ă  prĂ©dominer et Ă  remplacer les marabouts traditionnels locaux. Il ne faut pas oublier qu’il existe un clĂ©ricalisme musulman aussi agissant que n’importe quel clĂ©ricalisme et qui tend Ă  se rĂ©server des privilĂšges.
J’espĂšre que M. Ben Badis, qui est rĂ©publicain, n’a pas oubliĂ© que la formule fondamentale de la RĂ©publique la proclamait une et indivisible et qu’il ne s’associera point Ă  des tendances qui iraient Ă  l’encontre de cette unitĂ©. Nous voulons bien aller au-devant de nos amis, mais il convient aussi que nos amis viennent Ă  nous.
Robert RANDAU, L’Echo d’Alger, 29 janvier 1936

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