La mondialisation et les puissances mondiales sont en train de modifier la perception de la réalité de chaque citoyen du monde. Il est temps de révéler les méthode pour subvertir toute idéologie, une méthode inchangée depuis des décennies.
Phase 1 : La démoralisation.
Phase 2 : La déstabilisation.
Phase 3 : La normalisation.
La démoralisation à l'échelle mondiale est presque achevée. L'accès à des informations authentiques est devenu insignifiant. Une personne démoralisée ne peut pas discerner la vérité, même face à des preuves tangibles.
Peu importe les preuves présentées, une personne démoralisée reste imperméable à la réalité. C'est le drame de la démoralisation. Selon Yuri Bezmenov, un ancien du KGB, il faut 15 à 20 ans pour démoraliser une nation, le temps nécessaire pour éduquer une génération entière sous l'influence de l'ennemi.
Ces génération qui forment ensuite des individus qui occupent ensuite des postes-clés dans l'administration, les médias, et l'éducation, rendant difficile toute annulation de l'endoctrinement. Ils sont conditionnés à réagir de manière prévisible à certains stimuli, rendant leur changement d'opinion quasiment impossible.
Même face à des faits irréfutables, la perception reste figée. Pour inverser cette tendance, il faudra encore 15 à 20 ans pour éduquer une nouvelle génération qui agira dans l'intérêt de la société.
Le choc psychologique que des générations futures subiront en découvrant une société soit régie par l'intolérance et le pouvoir, ou par l'effet contraire l'égalité et la justice sociale, les poussera à se révolter ou à se rallier aux dissidents.
Les dirigeants et la politique menée dans le monde sont prisonniers de la démoralisation, mais une éducation précoce pourrait changer la donne dans les années à venir.