Mark Zuckerberg a récemment fait des révélations fracassantes, confirmant que Meta (anciennement Facebook) a subi des pressions directes de la part de l'administration Biden pour censurer les contenus critiquant les mesures prises face à la pandémie de COVID-19.
La Censure du Scandale Hunter Biden
Par ailleurs, Zuckerberg a admis que Meta a censuré le scandale du fameux #HunterBidenLaptop sous l'influence de la Maison Blanche. Ce silence imposé a contribué à étouffer une affaire potentiellement explosive en pleine période électorale.
La Fabrication de l'Épouvantail Russe
En outre, le patron de Meta a révélé que le FBI a incité la plateforme à alimenter la théorie d'une ingérence russe, renforçant ainsi un climat de suspicion qui a longtemps pesé sur les élections américaines.
L'Impartialité des Modérateurs Remise en Question
Zuckerberg a également reconnu que l'équipe soi-disant "neutre et impartiale" recrutée pour la modération des contenus a favorisé un biais en faveur des Démocrates. Cette admission met en lumière un sérieux problème d'intégrité, d'autant plus que les "fact-checkers" de Meta sont affiliés à l'International Fact-Checking Network, une organisation prétendument indépendante mais financée exclusivement par des fonds proches du parti démocrate.
Un Mea Culpa Tardif mais Important
Si le mea culpa de Mark Zuckerberg semble naïf, il représente néanmoins un pas en avant. Cependant, il est peu probable que cette bombe médiatique soit relayée par les fact-checkers de la presse traditionnelle. Ces derniers semblent trop attachés à leur rôle de "chiens de garde", bien trop dépendants de ceux qui tiennent leur laisse.
Ces révélations soulèvent des questions cruciales sur l'indépendance des grandes plateformes numériques et leur rôle dans le contrôle de l'information à des fins politiques.